Changement d’un panneau latéral ou aile arrière sur une camionnette

Procédure de devis
à distance

Changement d’un panneau latéral ou aile arrière sur une camionnette

Le remplacement d’un panneau latéral ou d’une aile arrière sur une camionnette : Une opération délicate mais essentielle.

Les camionnettes, outils indispensables pour de nombreux professionnels et particuliers, sont soumises à rude épreuve. Les chocs, éraflures et autres déformations sont malheureusement monnaie courante sur leurs carrosseries. Parmi les réparations les plus complexes et les plus fréquentes, le remplacement d’un panneau latéral ou d’une aile arrière représente un défi technique qui nécessite savoir-faire, outillage spécifique et une grande rigueur. Loin d’être une simple intervention cosmétique, cette opération est cruciale pour l’intégrité structurelle du véhicule et sa valeur de revente.

Pourquoi Remplacer et Non Réparer ?

La première question qui se pose souvent est de savoir s’il est préférable de réparer ou de remplacer un panneau endommagé. Si une petite bosse ou une éraflure peut souvent être redressée et repeinte, un dommage plus conséquent, comme une déformation majeure, une déchirure ou une corrosion perforante, rendra le remplacement inévitable. Tenter de réparer un panneau trop endommagé pourrait compromettre la solidité de la structure, entraîner des problèmes d’alignement des portes ou des éléments adjacents, et in fine, réduire la sécurité du véhicule. De plus, une réparation inadéquate pourrait ne pas être durable et réapparaître après quelques mois, générant des coûts supplémentaires et une perte de temps.

Les Préparatifs : La Clé d’une Réparation Réussie

Avant d’entamer le processus de remplacement, une phase de préparation minutieuse est indispensable.

  1. Évaluation des Dommages :Une inspection approfondie est primordiale pour déterminer l’étendue exacte des dégâts. Il ne s’agit pas seulement du panneau directement touché, mais aussi des éléments adjacents qui pourraient avoir été affectés par le choc, comme le châssis, les montants de porte ou le plancher. Cette évaluation permet de commander les bonnes pièces et d’anticiper les éventuelles complications.
  2. Sécurité Avant Tout :Le travail en atelier doit se faire dans le respect des règles de sécurité. Il est impératif de débrancher la batterie du véhicule pour éviter tout risque électrique, surtout si des éléments électriques sont intégrés au panneau (feux, capteurs). Le véhicule doit être stabilisé sur des chandelles ou un pont élévateur pour garantir une stabilité optimale pendant l’intervention.
  3. Démontage des Éléments Périphériques :Avant de pouvoir accéder au panneau endommagé, il est nécessaire de démonter tous les éléments qui le recouvrent ou y sont fixés. Cela inclut souvent le pare-chocs arrière, les feux, les garnitures intérieures, les joints d’étanchéité, et parfois même la lunette arrière ou le hayon. Chaque élément doit être soigneusement répertorié et stocké pour faciliter le remontage ultérieur.

La Technique de Remplacement : Une Chirurgie de la Tôle

Le remplacement d’un panneau latéral ou d’une aile arrière est une opération qui s’apparente parfois à une chirurgie.

  1. Découpe du Panneau Endommagé :C’est l’étape la plus délicate. Le carrossier utilise des outils de coupe spécifiques (disques à tronçonner, scies pneumatiques) pour découper le panneau endommagé le long des soudures d’origine. La précision est de mise pour ne pas endommager les parties saines de la carrosserie. Souvent, la découpe se fait en plusieurs étapes, en libérant progressivement les points de soudure. Pour certains panneaux, des points de soudure par résistance (soudure par points) doivent être percés pour détacher le panneau.
  2. Préparation de la Surface :Une fois le panneau retiré, les surfaces d’appui et les bords de découpe doivent être soigneusement nettoyés et préparés. Il s’agit d’éliminer les traces de colle, de mastic, de rouille et d’apprêt. Un meulage doux est souvent nécessaire pour obtenir une surface lisse et propre, prête à accueillir le nouveau panneau. L’application d’un apprêt anti-corrosion sur les zones exposées est une étape cruciale pour prévenir la rouille future.
  3. Ajustement du Nouveau Panneau :Le nouveau panneau est présenté sur le véhicule pour vérifier son ajustement parfait. C’est une étape cruciale pour garantir l’alignement des portes, des feux et des autres éléments adjacents. Des ajustements précis peuvent être nécessaires en utilisant des serre-joints et des cales pour maintenir le panneau en position.
  4. Fixation du Nouveau Panneau : Soudure et Collage La fixation du nouveau panneau de carrosserie se fait par soudure, collage structural, ou une combinaison des deux, selon les spécifications du fabricant et la nature du panneau à remplacer. Les techniques principales incluent :
  • Soudure par Points (Spot Welding) :
    • Si le véhicule a été assemblé avec cette méthode, le nouveau panneau est soudé par points aux mêmes emplacements que l’original. C’est la méthode la plus fidèle à l’assemblage d’usine pour les éléments structurels.
  • Soudure MIG/MAG (Metal Inert Gas / Metal Active Gas) :
    • Utilisée pour les zones où la soudure par points n’est pas possible ou pour renforcer des jonctions. Cette technique permet de créer des soudures continues, robustes et étanches, souvent employée pour les pièces non structurelles ou pour le raboutage.
  • Soudure par Brasure (Soudo-Brasage) :
    • Employée pour certaines zones spécifiques, notamment celles difficiles d’accès ou celles qui nécessitent une résistance élevée sans déformer le métal, car elle utilise une température de fusion plus basse.
  • Collage Structural (Bonding) :
    • De plus en plus fréquente sur les véhicules modernes (notamment ceux en aluminium ou avec des matériaux composites), cette méthode utilise des adhésifs bi-composants de haute performance. Le collage permet de répartir les contraintes sur une plus grande surface, améliorant la résistance aux chocs et réduisant le risque de corrosion. Il peut être utilisé seul ou en complément de la soudure (méthode de soudage-collage) pour une solidité accrue.
  1. Finition et Étanchéité :Après la soudure, les cordons sont meulés pour obtenir une surface lisse. Un mastic de carrosserie est appliqué sur les soudures pour assurer une parfaite étanchéité et éviter toute infiltration d’eau. Ce mastic est ensuite poncé pour créer une surface uniforme, prête pour l’étape de peinture.

La Phase Finale : Peinture et Remontage

Une fois le panneau parfaitement intégré à la structure, la camionnette est prête pour la phase de peinture. Cette étape, tout aussi importante, garantit l’aspect esthétique et la protection du nouveau panneau.

  1. Préparation à la Peinture :Le véhicule est soigneusement masqué pour protéger les zones non peintes. Le panneau est nettoyé, dégraissé et recouvert d’un apprêt qui assure l’adhérence de la peinture et protège contre la corrosion.
  2. Application de la Peinture :La peinture est appliquée en plusieurs couches fines, en respectant les spécifications du constructeur pour la teinte et le type de peinture (base, vernis). L’objectif est d’obtenir une couleur parfaitement assortie à celle du reste du véhicule, ce qui nécessite souvent un mélange sur mesure.
  3. Finition :Après séchage, un polissage et un lustrage peuvent être effectués pour obtenir une surface brillante et sans défaut.
  4. Remontage :Enfin, tous les éléments périphériques démontés au début de l’opération sont remontés. Chaque vis, chaque agrafe est remise en place avec soin pour restituer l’intégrité fonctionnelle et esthétique du véhicule. Un contrôle final de tous les systèmes (éclairage, ajustement des portes, etc.) est réalisé avant de rendre le véhicule à son propriétaire.
    Le remplacement d’un panneau latéral ou d’une aile arrière sur une camionnette est une opération complexe qui exige une expertise technique, des outils spécifiques et un souci du détail. Réalisée par des professionnels qualifiés, cette réparation garantit non seulement la sécurité et la longévité du véhicule, mais aussi le maintien de sa valeur sur le marché. C’est un investissement qui assure la pérennité de l’outil de travail et la tranquillité d’esprit de son utilisateur.
    Chaque point de fixation (soudure ou collage) est réalisé avec précision pour assurer la solidité de l’assemblage et reproduire la structure d’origine du véhicule.
  5. Finition et Étanchéité : Après l’assemblage (soudure et/ou collage), les cordons de soudure sont meulés pour obtenir une surface lisse. Un mastic de carrosserieou un produit d’étanchéité spécifique est appliqué sur les jonctions pour assurer une parfaite étanchéité et prévenir toute infiltration d’eau ou apparition de corrosion. Ce mastic est ensuite poncé afin de créer une surface uniforme, prête pour l’étape de peinture.

Des questions ? Contactez-nous !

Retour aux actualités

Constat d’accident : voici les cases cruciales aux yeux des assureurs !

Les cases cruciales aux yeux des assureurs sur le constat d’accident, vous les connaissez ?

Une fois les sections 1 à 5 terminées, les cases 6 à 9 complétées avec vos coordonnées et celles de la partie adverse, il est temps de passer aux cases cruciales aux yeux des assureurs sur le constat d’accident !

Au sein de la section 10, indiquez clairement  l’emplacement précis du choc à l’aide d’une flèche. Ensuite, décrivez les dégâts apparents sur votre véhicule dans la section 11.

Avant de compléter la partie 12, soyez bien concentrés car cette section détaille les circonstances de l’accident au moment précis du choc et pas quelques secondes avant ou après. Afin de ne pas commettre d’erreur, pensez à dire « Je » avant chacune des circonstances car parmi les 17 cases à cocher, certaines sont susceptibles d’engager votre responsabilité.

On vous explique comment réaliser le croquis dans notre prochain article ! Pour ne pas le louper, suivez nos actualités sur Facebook !

Des questions ? Contactez-nous !

Retour aux actualités

Qui seront les véhicules A et B sur le constat européen d’accident ?

Commencez par vous mettre d’accord : qui sera le véhicule A et qui sera le véhicule B sur le constat européen d’accident ?

En réalité, cela n’a aucune importance dans le formulaire.

Une fois que vous vous êtes décidés, procédez étape par étape et complétez les sections 1 à 5.

Dans la section 1, indiquez la date de l’accident et l’heure. Au niveau de la case 2, indiquez le pays et le lieu de l’accident (en mentionnant l’adresse la plus précise que possible). Dans la partie 3, précisez s’il y a des blessés même s’il ne s’agit que d’une égratignure.

En cas de dommages causés à d’autres véhicules que celui du conducteur avec qui vous remplissez le constat ou à d’autres objets (à un mur de maison par exemple), indiquez-le dans la case numéro 4.

Si plus de deux parties sont impliquées dans l’accident, vous devez alors compléter un constat séparé avec chacun des conducteurs entrés en collision avec votre véhicule.

Si des personnes se trouvaient à proximité ont vu l’accident, notez soigneusement leurs noms, numéros de GSM, adresses, …). Leurs témoignages seront décisifs pour définir les responsabilités en cas de litige entre les parties. S’il n’y a aucun témoin, indiquez-le aussi sur le constat au niveau de la section 5.

Enfin, attention, les passagers des véhicules impliqués ne sont jamais des témoins neutres et leurs version des faits sont souvent écartées. Les témoins qui ne figurent que sur un exemplaire ne sont pas retenus par les compagnies d’assurances ni par les tribunaux.

Pensez-y en cas d’accident de la route !

Des questions ? Contactez-nous !

Vous aimez cet article ? Suivez nos actualités sur Facebook !

Retour aux actualités

Comment compléter le constat européen d’accident ?

On a plus besoin de vous expliquer l’importance de remplir un constat afin de préserver vos intérêts.

Dans cet article, nous allons vous expliquer comment compléter le constat européen d’accident.

Vous avez 2 possibilités pour compléter le constat européen d’accident:

  • via l’app Crashform à télécharger sur votre smartphone. Si vous utilisez cette option, sachez qu’un règlement à l’amiable, c’est-à-dire sans intervention des assureurs, n’est alors plus possible.
  • via le constat d’accident papier

Les utilisateurs estiment souvent qu’il est plus rapide de compléter le formulaire papier que de faire la déclaration via l’application.

Mais comment remplir ce document correctement ?

Le constat comporte deux volets :

  • le recto, un côté pour vous et un côté pour la partie adverse, que les deux parties doivent compléter et signer (sauf désaccord). Ensuite, chaque conducteur conserve un exemplaire : l’original ou le double, peu importe.
  • le verso que vous pouvez compléter tranquillement à la maison avant de remettre le constat à votre assureur

Pensez à utiliser un stylo-bille plutôt qu’un crayon et écrivez le plus lisiblement possible, en majuscules, en évitant les ratures.
Ensuite, mettez-vous d’accord qui sera le véhicule A et qui sera le véhicule B sur le formulaire.

Pensez-vous que cela a une importance ? La réponse dans notre prochain article 🙂

Des questions ? Contactez-nous !

Vous aimez cet article ? Suivez nos actualités sur Facebook !

Retour aux actualités

Remplir un constat européen d’accident, pourquoi ?

Si vous avez été victime d’un accident de la route, il est primordial de remplir un constat européen d’accident.

Votre véhicule a subi des dommages ? Compléter ce document vous permettra de préserver vos intérêts.

Remplir un constat européen d’accident, pourquoi ?

Un constat d’accident est un formulaire qui décrit les circonstances précises d’un accident de véhicule. Vous pouvez utiliser le constat d’accident pour déclarer un sinistre même quand aucune autre partie n’est impliquée : une collision avec un arbre, un vol, un incendie, etc.

Rédiger un constat d’accident est toujours à votre avantage, même en cas de règlement à l’amiable. En cas de problème avec la partie adverse, il vous sera encore possible d’envoyer ce document à votre assureur par la suite.

Où se trouve ce document ?

Généralement dans votre boite à gants. Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à en réclamer un exemplaire auprès de votre compagnie d’assurances.

Des questions ? Contactez-nous !

Vous aimez cet article ? Suivez nos actualités sur Facebook !

Retour aux actualités

Accident de la route : pensez à votre propre sécurité !

Un accrochage est vite arrivé …

En cas d’accident de la route, pensez d’abord à votre propre sécurité !

Afin de vous aider à garder votre clairvoyance dans un tel cas, la Carrosserie Piron vous rappelle les différentes étapes clé à respecter pour résoudre cette situation car être victime d’un accident de voiture, c’est toujours très stressant, même lorsque celui-ci est sans gravité.

Accident de la route : pensez à votre propre sécurité !

Vous venez d’avoir un accident mais heureusement vous n’êtes pas blessé.

Pensez à votre propre sécurité : coupez le moteur, tirez votre frein à main, enclenchez les quatre feux clignotants, enfilez votre gilet fluo et placez votre triangle à bonne distance. Ensuite, évaluez calmement la situation.

Il y a des blessés ? Appelez immédiatement le numéro d’urgence européen 112 et suivez leurs instructions. Prévenez également la Police.

Dans quels cas doit-on prévenir la police en cas d’accident de la route ?

  • il y a des blessés
  • une discussion s’engage concernant les circonstances de l’accident
  • l’autre partie est ivre ;
  • la partie adverse commet un délit de fuite ;

Pouvez-vous déplacer les véhicules ?

Si oui, dégagez la voie et garez-vous sur le côté afin de remplir le constat d’accident calmement.

Des questions ? Contactez-nous !

Vous aimez cet article ? Suivez nos actualités sur Facebook !

Retour aux actualités

Coronavirus : Les éléments de votre véhicule susceptibles d’être porteur du virus

Comment se protéger du virus lors de nos déplacements ?

En cette crise sanitaire, nous attirons votre attention sur les éléments les plus susceptibles d’être porteur du COVID-19.

Il existe à l’intérieur et à l’extérieur de notre véhicule, des zones de contact à désinfecter régulièrement afin de réduire le risque d’être contaminé. Les poignées de porte, le volant, le levier de vitesseles ceintures, … Font partie de ces éléments et sont à privilégier lors de la désinfection du véhicule.

 

6 conseils pour limiter la propagation

  • Lorsque vous devez vous déplacer, essayez (si possible) d’être seul à bord du véhicule.
  • Impossible de vous déplacer seul ? Demandez à vos passagers de porter des masques de protection et évitez les contacts physiques.
  • Désinfectez régulièrement votre véhicule aux endroits que vous touchez.
  • Lavez-vous les mains régulièrement.
  • Utilisez un masque de protection.
  • Faites le plein en toute sécurité en utilisant (lorsque c’est possible) un moyen de paiement sans contact ou par application mobile.

Des questions ? Contactez- nous !

Retour aux actualités

Quand faut-il utiliser des pneus hiver ?

Pourquoi utiliser des pneus hiver ?

La saison hivernale bat actuellement son plein et, même si ce n’est pas le cas chez nous, plusieurs pays limitrophes à la Belgique (comme l’Allemagne et le Luxembourg) imposent que votre véhicule soit équipé de pneumatiques spécifiques. Vous risquez donc des amendes en cas de contrôle sur les routes de ces pays. Cela peut-même aller jusqu’à une immobilisation du véhicule voire des poursuites pénales en cas d’accident.

Il faut aussi savoir que les pneus hiver assurent des performances accrues lorsque les conditions climatiques sont difficiles : gel, verglas, neige, fortes pluies, … C’est donc déjà un élément hyper important pour votre sécurité mais aussi pour celle des personnes qui vont croiser votre route.

Quand les monter et les démonter ?

Même en dehors de conditions météorologiques hivernales, il est préférable de se munir de pneus hiver plutôt que de pneus été lorsque les températures extérieures sont susceptibles de passer sous la barre des 7 degrés. De manière générale, il est dès lors recommandé de monter des pneus hiver dès le mois d’octobre et de les remplacer par des pneus été vers la mi-avril.

Comment vérifier l’usure de ses pneus ?

Pour une utilisation optimale les pneus hiver doivent présenter des rainures d’une profondeur minimale de 1,6 à 2 mm. Il est même recommandé de les remplacer par un train de pneus neufs lorsque la profondeur des rainures est de moins de 4 mm.

Une différence entre l’avant et l’arrière ?

Il est strictement interdit de coupler des pneus été avec des pneus hiver. Mais par contre il est permis de monter des pneus hiver neufs avec des pneus hiver déjà utilisés, ils doivent juste respecter la condition concernant la profondeur minimale des rainures, c’est-à-dire 1,6 à 2mm minimum.Il faut également que la même génération de pneus soit montée sur le même train. Il est recommandé de monter les pneus les moins usés (ou les neufs) à l’arrière plutôt qu’à l’avant et ce afin d’équilibrer l’adhérence entre les deux essieux et d’accroître ainsi la sécurité. L’essieu avant est contrôlé par l’action du volant, et ce malgré une faible adhérence, tandis que les roues arrière bénéficient de l’adhérence optimale procurée par des pneus neufs.

Qu’ont-ils de plus ces pneus hiver ?

Un dessin spécifique avec des lamelles et des rainures plus nombreuse fourni des performances optimales dans des conditions hivernales

Une gomme plus tendre qui assure une meilleure adhérence sur route mouillée, enneigée voire verglacée. Les phases de freinage sont plus efficaces, tout comme la traction et le contrôle de la direction.

Le pneu hiver est le meilleur allié contre le phénomène d’aquaplaning.

Conclusion

Les pneus hiver sont quasiment aussi confortables que les pneus été et ne s’usent pas beaucoup plus rapidement. Il y a moins de 10 % d’écart de prix entre un pneu hiver et un pneu été. Ils restent donc un bon choix en termes de confort mais aussi de budget.

Les pneus hiver, c’est donc le gage d’une stabilité, d’une adhérence et d’une maniabilité au top dans les conditions les plus difficiles. Il ne faut donc plus hésiter à y passer ou, au moins, pour les conducteurs parcourant peu de kilomètres et évoluant principalement en ville à s’orienter vers des pneus 4 saisons.

Des questions ? Contactez- nous !

Retour aux actualités

Conseils pour la conduite hivernale

L’hiver est encore présent pour quelques semaine et les routes glissantes qui l’accompagnent aussi. La conduite hivernale demande quelques adaptations dans notre façon de rouler ainsi que pas mal de réflexes.

Voici quelques conseils afin d’éviter l’accident dû aux conditions hivernales :

– Redoublez de vigilance lorsque vous êtes au volant par conditions difficiles. Toujours préférer les manœuvres en douceur aux mouvements brusques. Dans les virages, l’action sur le volant doit être souple et constante. Si l’arrière de votre véhicule se dérobe, au volant d’une voiture à traction, accélérez doucement pour rétablir l’équilibre. Au volant d’une voiture à propulsion, débrayez, lâchez la pédale d’accélération et contre-braquez.

– Une autre règle essentielle est de toujours regarder dans la direction vers laquelle vous voulez vous diriger. Lors du freinage, n’hésitez pas à utiliser le frein moteur qui vous aidera à éviter les dérapages. Lors de ceux-ci, vous n’avez plus le contrôle de votre véhicule. Pour regagner de l’adhérence, relâchez la pédale de frein puis freinez à nouveau.

– Si une chaussée humide est deux fois plus glissante qu’une chaussée sèche, une chaussée enneigée l’est quatre fois plus et une chaussée verglacée l’est huit fois plus ! Dans les côtes, si vous patinez, passez la vitesse supérieure. La force de traction ou de propulsion exercée sur les roues s’en verra diminuée, ce qui augmentera l’adhérence de votre véhicule.

– Un bon gonflage des pneus est plus qu’important par temps froid. Pourquoi ? Plus la température est basse plus la pression mesurée est faible. Il faut donc ajouter, à froid, 0,2 bar par rapport à la pression indiquée pour des conditions climatiques « normales »

Des questions ? Contactez- nous !

Retour aux actualités